Pas une métallerie sans son poste à souder, voire plusieurs. C’est l’outil qui définit à lui seul le métier. Ses progrès technologiques ont été considérables. Un dossier est en préparation pour le prochain Métal Flash.

On peut sans doute se passer d’un certain nombre de machines en métallerie. Mais un atelier sans poste à souder est quasiment impossible à trouver… C’est l’outil et l’investissement de base par excellence. En MIG/MAG, en TIG ou à électrodes enrobées ces équipements font partie intégrante du métier. Cependant, au cours des dernières décennies, les matériels ont connu des progrès considérables : Sur le plan des afficheurs, de la consommation d’énergie, sur les programmes embarqués voire sur la connectivité des postes. Les réglages sont potentiellement définis par la machine selon la nature du métal et son épaisseur.

Outils de traçabilité

Il y a désormais la possibilité d’assurer une traçabilité rigoureuse qui peut être exigée par certains clients. En quoi ces évolutions peuvent-elles améliorer la performance et l’attractivité des entreprises ? Est-il devenu plus facile de souder aujourd’hui ? Quels sont les fabricants les plus en pointe sur la technologie et sur le service ? Qu’en est-il des postes multiprocédés ? Et comment choisir parmi la foison d’appareils disponibles ? Dans le prochain numéro de Métal Flash nous ferons le point sur l’offre en postes à souder professionnels. Ce sera aussi l’occasion d’avoir des retours d’expérience de métalliers ayant récemment fait un tel investissement. Le numéro paraîtra courant du mois de mars.

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