Jacques Medina.
« Je veux travailler pour des gamins qui ont du mal. Des gosses qui ont besoin de moi ». Cela sonne comme une profession de foi. Jacques Medina a tracé sa carrière avec cet esprit. Difficile de ne pas voir dans cet homme impeccablement vêtu et d’une vigilance extrême, un « hussard noir ». Comme ces premiers diplômés des Écoles normales de la IIIe République, Jacques Medina a des origines modestes et la volonté d’élévation sociale chevillée au corps. « Suis viscéralement attaché au service public. J’ai la foi et je ne parle pas beaucoup d’argent ou seulement pour que l’on m’en donne et que j’investisse dans l’équipement pour les jeunes », lâche-t-il dans un grand éclat de rire.
Se rapprocher des métalliers
Il a beau être strict, il n’en est pas moins sensible à l’humour. Son accent du sud-ouest apporte de la légèreté à son propos. Cet accent raconte un peu de son histoire. Le lycée Gabriel Péri, dans le sud-est de la banlieue parisienne, a une section métallerie qui tourne plutôt bien. Récemment il a fait la démarche de se rapprocher de Cesame et de l’Union des métalliers pour nouer un partenariat. Il était évident pour nous d’aller à sa rencontre.
L’entretien complet est à lire dans le prochain numéro de Métal Flash.