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Plusieurs fois par an se réunissent les partenaires de l’Union des métalliers. Sans leur soutien et leur implication nombre d’actions de l’organisation professionnelle ne pourraient pas voir le jour. La première rencontre de l'année s'est tenue le 28 février.

C’était la première réunion de l’année des partenaires de l’Union des métalliers. La formule est bien rodée. Le 28 février au matin le bureau de l’Union s'est réuni au siège de l’organisation professionnelle rue du Débarcadère à Paris pour fixer les grandes actions et les travaux en cours des commissions. Le président Christophe Bonhomme impulse et dynamise son équipe sachant que les « dossiers chauds » ne manquent pas. Le contexte économique se durcit et, outre les bouleversements technologiques, l’actualité normative et réglementaire impose plus que jamais une solide vigilance de la part des dirigeants d’entreprise. Après un déjeuner buffet convivial au cours duquel les anciens et les nouveaux partenaires (Caillebotis Diamond, ISD, SFS, Ysofer et Zinc) ont pu échanger avec les métalliers du bureau, l’après-midi a été consacrée aux travaux de l’Union. Auparavant Éric Quinton (FFB) a fait le point sur la conjoncture du bâtiment. Elle est globalement sombre mais les métalliers peuvent y trouver, malgré tout, des opportunités (protection solaire face au réchauffement climatique, rénovation et extensions, mise en conformité de bâtiments publics…).

Action de prospective en cours

Mathieu Queiros a, avec talent, présenté des résumés didactiques de l’avancée des Groupes de travail (GT). On notera que le sujet du réemploi en métallerie fera bientôt l'objet de recommandations techniques et qu’une action de prospective « Métallerie 2030 » est en cours. Elle devrait permettre d’obtenir une meilleure visibilité sur les défis auxquels les métalliers ont et auront à faire face dans un avenir proche. Enfin, notons que les partenaires ont été invités à participer activement non seulement aux Assises, au salon Métal Expo et à Métal Flash, mais aussi au sein des GT dans lesquels leur expertise est extrêmement précieuse. Citons par exemple les sujets comme le traitement de surface et la fixation dans les matériaux biosourcés pour lesquels la demande en information est toujours forte.