N’oublions pas forcément les tréteaux, mais regardons de plus près les tables à souder. Le marché est dominé par les fabricants allemands, mais un français a fait son apparition. Son offre est pertinente . À lire dans le prochain numéro de Métal Flash.

Faut-il commencer à ranger les tréteaux et lorgner vers les tables de soudage ? Pourquoi pas. Les tréteaux garderont leur place à l’atelier, dans de nombreuses situations ils ont leur utilité. Aussi certains y sont attachés et vu le prix de revient, il serait absurde de s’en priver. Cependant, les tables à souder, dites « tables à brider », commencent à prendre leurs aises dans les métalleries. Le gain de temps et le confort de travail à l’assemblage sur un marbre sont des arguments qui font mouche. Les fabricants germaniques (Siegmund, Demmeler, Förster…) ont pris pied dans l’Hexagone avec assurance. Leurs tarifs sont cependant élevés aux yeux d’un grand nombre d’artisans. Ça tombe bien, JPS, un fabricant français, est entré dans la course avec une offre ultra-compétitive et des solutions bien adaptées aux ouvrages des métalliers.

Ce sera le sujet d’un article à paraître en mars dans le prochain numéro de Métal Flash.